LES MIRACLES de la chapelle

les miracles de la chapelle Notre Dame Auxiliatrice de Le Quesnel en Santerre (80)


Une neuvaine est faite en 1852, pour une enfant, Catherine Daigny, agée de 7 ans qui ne marche pas. Le 8e jour (d'une neuvaine), le miracle se produit : l'enfant marche.
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LES MIRACLES à la chapelle :


En 1882, c'est une fille, J. Platel qui sera guérie d'une bronchite chronique.

LES MIRACLES à la chapelle


c'est en 1868, le 5 aout, qu'eu lieu le fait le plus extraordinaire.

je retranscris textuellement les termes de M. L'abbé Hurdequint, curé de le Quesnel. (confer livre de l'abbé Maurcice Leroy)

"Phénomène apparu dans la chapelle de Notre-Dame Auxiliatrice.
Je soussigné curé du Quesnel, ayant appris que plusieurs personnes de la paroisse se rendant aux champs, pour glaner, le 5 du mois d’août, vers trois heures et demi du matin, avaient aperçu à deux reprises différentes, quelque chose d’extraordinaire dans l’intérieur de la chapelle de Notre-Dame-Auxiliatrice, les invitait, le dimanche à se rendre à la sacristie pour les entendre sur cet évènement.
Toutes ces personnes au nombre de six, Célina Sené, épouse de Edmond Daigny, Léontine de Saint-Léger, épouse de Raymond Mourier, Henri, Léon et Alphone Mourier, fils des deux derniers, âgés de 8 à 12 ans, me déclarent que : le mercredi 5 août, se rendant aux champs et se trouvant sur le chemin de la chapelle, en face de la porte grillée, ils aperçurent comme une flamme éclatante illuminant tout l’intérieur pendant environ deux minutes et qui disparut, ce qui les saisit tous de frayeur. Deux minutes après, une nouvelle clarté plus abondonate que la première parut encore et remplit tout l’intérieur d’un si vil éclat, pendant environ deux minutes, qu’ils aperçurent la Sainte Vierge comme au milieu de rayons qui l’environnaient, ce qui les saisit d’une nouvelle frayeur plus grande encore. Ah ! mon Dieu, s’écrièrent-ils, la chapelle brûle, et les trois enfants se mirent à pleurer avec éclat. Une sixième personne, Françoise Baillet, épouse de Florent Daulé, qui se trouvait seule en arrière sur le même chemin, nous a aussi déclaré avoir vu tout ce que les cinq qu’elle suivait avaient vu. Après avoir consulté plusieurs personnes prudents, ecclésiastiques et laïques, nous avons cru que la chose valait la peine d’être consignée dans le registre de la fabrique, comme nous venons de le faire. En foi de quoi nous avons signé.
Au Quesnel, le 10 août 1868. Hurdequint, curé chanoine Honoraire »

Dans son livre, l'abbé Maurcice Leroy mentionne que M. l’abbé Floury, faisant allusion à ce fait, écrit : « les témoins vivent encore pour la plupart et leur récit paraît révéler tous les caractères d’une véritable authenticité. Je fais le vœu que cette flamme soit le symbole et le signe d’un puissant réveil de la foi et de la divine charité au milieu de nous. »

Les plus anciens du Quesnel ont entendu relater des détails, de ces faits très exceptionnels par leurs grands-parents.

ici, un autre miracle mais par rapport à St Marius (dont les os sont enchassés dans de la cire et qui est exposé dans l'Eglise)
https://lequesnel.forumactif.org/t81-le-culte-de-saint-marius